> Bretons et Bas Normands Proches voisins dotés d'une volonté, bien différente.
Publié le 13 Juin 2015
Bretons et Bas Normands Proches voisins dotés d'une volonté, bien différente. Comme en témoigne l'article ci-joint, population et élus Bretons partagent une même vision. Ils n'acceptent pas tout, sans réagir, réfléchir, proposer et si besoin, imposer. Coté Normand on retrouve une spécialité : "ménager la chèvre et le chou" bien pratique pour justifier le "chacun pour soi" Des rassemblements, des réunions ou chaque responsable et élus réaffirment avec force discours mais conviction parfois fébrile, vouloir maintenir nos Barrages et nos Lacs ???? tout en ayant pour certains, trop rapidement accepté les appâts empoisonnés... parmi lesquels figurent les propositions financières, accordées sous conditions "d'après Barrages". Des discours qui se terminent avec invitations à rester fortement mobilisés, mais... sans cohésion, sans méthode ni calendrier précis ! Certes l'action des élus est importante, mais elle ne suffit pas. le rôle des élus serait aussi de ne pas jouer "cavalier seul" et de respecter l'importance de leurs électeurs en valorisant leur soutien, leur rôle et en les plaçants davantage au cœur de leur combat. Ces multiples faux espoirs ont engendrés de vraies déceptions dans la population. Une mobilisation locale déjà précaire à laquelle s'ajoutent désormais, lassitude, découragement et doutes qui vont suivre. Ainsi, les partisans de l'arasement peuvent, sans aucune opposition, poursuivre leur œuvre destructrice, allant jusqu'à introduire dans les dossiers, incohérences et fausses informations grossières, gravées dans les documents officiels et reprises par les experts. Aujourd'hui, la réalité est de constater que rien n'est réglé le temps joue contre nous et l'abandon de nos Barrages se poursuit. Si nous ne bougeons pas maintenant, vous pourrez considérer que nos Barrages sont MORTS !! Les dernières variations suspectes des niveaux des Lacs, les pannes des turbines succinctement réparées, le manque d'entretien général des ouvrages, le volume de production volontairement abaissé etc.. Tout ceci témoigne d'une volonté de laisser l'outil se dégrader afin d'ajouter le moment venu, des arguments de vétusté, voire de danger déjà mis en avant, par quelques uns des pro-araseurs. L'urgence, avant le référendum proposé, serait de mettre au point un moyen simple mais efficace pour informer le grand public de toutes les contre-vérités introduites dans les dossiers et remettre immédiatement, les citoyens dans l'action. L. Gontier