Publié le 26 Août 2011
Ce blog cherche des réponses à la pollution de nos cours d'eau et la Baie du Mont st Michel.Les barrages de Vezins et la Roche-qui-Boit sont accusés de polluer et de faire obstacle aux poissons migrateurs.Quand la pollution cessera, le poisson renaîtra.
Publié le 26 Août 2011
Publié le 25 Août 2011
La manche libre du 27 aout 2011
Je crois qu'une réaction s'impose et qu'une mise au point est nécessaire.
On essaie de faire croire que des "études" ont été menées alors qu'il n'en est rien. Les ateliers de travail menés par ETHEIS se sont bornés à des discussions dont les conclusions étaient écrites d'avance par les prétendus "experts" de la DDTM.
Erick, Louis: ne pensez-vous pas qu'il est temps de mettre fin à l'imposture et que le moment est venu de faire entendre raison à cette poignée de technocrates en utilisant la manière FORTE ?
Cordialement,
John
Publié le 25 Août 2011
Pour la défense du lac
la gazette du 25 aout 2011
Publié le 14 Août 2011
Pascalou
Publié le 12 Août 2011
THE FRIENDS OF THE DAMS ASSOCIATION (Les Amis du Barrage) DEMAND THAT THE DECISION TO LEVEL OFF THE DAMS BE FROZEN.
To satisfy a handful of fanatical ecologists and some daydreamers, the government decided to level off the dams of VEZINS and LA ROCHE QUI BOIT in South Manche.
The reasons set forth are the restoration of the water quality and that of the free circulation of migrating fish.
The dams themselves are not polluting, but their lakes play the part of purification basins and retain part of the pollution coming from upstream. Thus, human beings together with salmon enjoy the use of a correct quality of water. To assert that migrating fish would get upstream the Selune following the disappearance of the dams is pure utopia because the polluted waters would flow way down to the Mont St Michel bay and salmon would probably not get farther than the mouth of the river from which it would totally disappear.
Although rightfully opposed by the officials and a majority of the concerned population, such a decision is said to be irreversible on the grounds that it arises from the “Grenelle de l’Environnement” based on a vote from the “SAGE Sélune” and the approval of the “CLE”.
The government stresses the necessity to reduce pollution, increase the production of clean and renewable energies and preserve water reserves.
Yet, it is about to contaminate one of the world’s most beautiful bay in increasing significantly the proliferation of green algae. The leveling off of the dams would also result in the disappearance of two hydroelectric plants capable of supplying power to 15,000 people, and in the suppression of a 20 million cubic meters water reserve.
All inconsistencies and contradictions which is high time to stand against, because if such a decision were to be executed, its consequences would be irreversible.
This is the reason why we demand the freezing of the leveling off process and immediate start of the studies of impact which should have been carried out prior to a hasty decision, and up to this day, unjustified.
Publié le 12 Août 2011
LES AMIS DU BARRAGE DEMANDENT LE GEL DE LA DECISION D’ARASEMENT.
Pour satisfaire une poignée d’intégristes de l’écologie et quelques doux rêveurs, l’Etat a décidé d’araser les barrages de VEZINS et de LA ROCHE QUI BOIT dans le Sud-Manche.
Publié le 8 Août 2011
La Manche Libre du 6 aout 2011
UN SEUL MOT : BRAVO!!!
UNE RAISON DE PLUS POUR SOUTENIR LE COMBAT DES AMIS DU BARRAGE DE VEZINS ET DU BARRAGE DE LA ROCHE QUI BOIT POUR LEUR SAUVEGARDE AINSI QUE CELLE DES 2 LACS, QUI ABRITENT UN CHEPTEL DE POISSONS BLANCS ET CARNASSIERS PUREMENT SAUVAGES, PUISQU'IL N'EST PLUS EFFECTUE DE REEMPOISSONNEMENT!NON SEULEMENT, C'EST LE PARADIS DES PECHEURS, MAIS EN PLUS LE RECORD DE FRANCE EST BATTU EN TERME DE PECHE DU SANDRE, POISSON CARNASSIER NOBLE AU NIVEAU CULINAIRE!
C'EST LE ROI DE NOS LACS, AU MEME TITRE QUE LE SAUMON EN COURS D'EAU DE 1ERE CATEGORIE ET QUE LE BAR EN MER!
COMMENT PENSER UN SEUL INSTANT, QUE CE PROJET D'ARASEMENT DE NOS BARRAGES SOIT MIS A EXECUTION ET QUE CES LACS DISPARAISSENT AVEC CES TRESORS INESTIMABLES?
COMMENT IMAGINER QUE CE CHEPTEL DE POISSONS DISPARAISSE A JAMAIS ET QUE TELS RECORDS POUR LES PASSIONNES DE PECHE NE PUISSENT PLUS ETRE ETABLIS DANS NOTRE SUD MANCHE?
LE DESTIN DE CES POISSONS EST MALHEUREUSEMENT BIEN TRISTE, SACHANT QU'EN MAJORITE, ILS PERIRONT LORS DE VIDANGE PREVUE EN 2013, LES OPERATIONS DE CE TYPE EFFECTUES ANTERIEUREMENT SONT PARLANTES VU QUE LES PECHERIES SONT INEFFICACES DE PART LA CONFIGURATIONS DES FONDS, RELIEFS, ET LA DIFFICULTE POUR METTRE EN PLACE UN SYSTEME DE RECUPERATION DU POISSON EN SORTIE DE BARRAGE.
IL EN VA DE MEME POUR LE SAUMON EN NOMBRE DANS LE FLEUVE SELUNE QUI SUBIRA DE PLEIN FOUET LES EFFETS DE CETTE VIDANGE SUITE A L'ECOULEMENT DES BOUES ET SEDIMENTS VERS L'AVAL, ET PAR LA MEME OCCASION DANS LA BAIE DU MONT ST MICHEL!
ALORS, DEFENDONS TOUS, PECHEURS, ELUS, CITOYENS, AVEC LES AMIS DU BARRAGE CE PATRIMOINE LOCAL QUE CERTAINS VEULENT NOUS ARRACHER AU NOM D'AMBITIONS UTOPIQUES, HASARDEUSES ET DOUTEUSES!!!
MERCI A NOTRE MODO BLOGUEUR NATIONAL "JOJO" D'AVOIR PUBLIE CE FAIT EXCEPTIONNEL ET VALORISANT POUR NOTRE VALLEE DE LA SELUNE!
PASCAL
photo La Gazette
Publié le 8 Août 2011
Publié le 8 Août 2011
aticle de la Manche Libre du 6 aout 2011
Publié le 5 Août 2011
http://actu.orange.fr/magazine-sante/algues-vertes-mortelles.html
Algues vertes : peut-on encore aller à la plage ?
Depuis le 7 juillet, 36 cadavres de sangliers ont été retrouvés sur une plage bretonne couverte d’algues vertes. Depuis 3 ans, ces "laitues de mer", aussi dangereuses pour les animaux que pour les hommes, ne cessent de faire polémique.
photo :
Pou
Pourquoi les algues vertes sont dangereuses pour l’homme ?
80.000 tonnes d’algues vertes s’échouent chaque année sur une cinquantaine de plages bretonnes. Si au départ elles sont inoffensives, elles deviennent très vite dangereuses en séchant, lorsqu’elles dégagent du sulfure d’hydrogène. Ce gaz nocif, lorsqu'il est inhalé, provoque des intoxications aigües potentiellement mortelles.
Quels sont les antécédents ?
L'inquiétude à propos des algues vertes est née après la mort, suite à l’inhalation de gazs toxiques, de deux chiens en juillet 2008 sur la plage de la Granville. Très vite, le docteur Claude Lesné, spécialiste des polluants aériens et de leurs effets sur la santé, s'était intéressé de près à ces « laitues de mer ». Dans un entretien au Télégramme de Brest (4 octobre 2008), il s’inquiétait déjà des risques encourus par l’homme : « Si cela arrive à deux gros chiens (13 kg et 25 kg), ça peut également arriver à des humains et, notamment, à des enfants. Surtout que les animaux réagissent habituellement plus tard et à des doses plus élevées ». D'autres incidents, imputés aux algues vertes, n'ont pas manqué depuis de raviver la polémique. Ainsi, toujours en 2008, un ramasseur d’algues vertes sur une plage de Bretagne est tombé dans un grave coma. En 2009, un homme de 48 ans est décédé suite à une intoxication par le sulfure d'hydrogène, inhalé lors du ramassage des algues. Plus tard la même année, un cheval a succombé à une intoxication aigüe foudroyante sur la plage de Saint-Michel-en-Grève. Son cavalier n'a heureusement pas subi le même sort. Ce vétérinaire de formation, aujourd’hui chercheur en virologie, a pu être secouru après avoir perdu connaissance.
36 sangliers retrouvés morts en juillet 2011
Les 36 cadavres de sangliers, découverts sur une plage bretonne, relancent donc la polémique sur les algues vertes. Bien qu'elles ne soient pas officiellement mises en cause dans le décès de ces animaux, une récente autopsie réalisée sur 6 marcassins accrédite un peu plus la piste de morts dues à ces "laitues de mer". La préfecture des Côtes-d'Armor a annoncé le lundi 1er août que la présence d'hydrogène sulfuré, un gaz toxique issu de la putréfaction des algues vertes, "est avérée" dans les poumons de cinq des six sangliers découverts morts le 24 juillet dans l'estuaire du Gouessant. Des résultats toutefois nuancés lors d'une conférence de presse par Philippe de Gestas, secrétaire général de la préfecture : "Il serait excessif de conclure de manière radicale que c'est l'hydrogène (H2S) qui a provoqué leur mort puisque l'un de ces animaux n'en présentait pas. Le H2S a pu contribuer à leur mort dans des proportions que je ne suis pas en mesure de vous dire aujourd'hui".
L’ Agence nationale de la sécurité sanitaire (Anses) a de son côté rendu un rapport début juillet confirmant le risque majeur « dans certains cas » de la putréfaction des algues vertes sur les littoraux, en raison du dégagement, entre autres, du sulfure d’hydrogène, un gaz qui peut être mortel.
Des taux inquiétants d'hydrogène sulfuré
Les militants écologistes André Ollivro et Yves-Marie Le Lay ont pratiqué, le mercredi 27 juillet, des analyses sur la plage de Saint-Maurice, à Morieux. Ceci devait leur permettre de prouver que la mort des sangliers est directement liée à la pollution à l’algue verte. Ainsi, le taux d'hydrogène sulfuré (H2S) mesuré a dépassé les 500ppm (particules par million) à deux reprises, pendant quatre, puis dix secondes. Un seuil auquel la mort arrive en quelques minutes chez l'homme.
Quant à l'estuaire du Gouessant, où ont été retrouvés les animaux, c'est un taux de 380 ppm qui a été mesuré. «Les résultats que nous avons obtenus ne sont pas surprenants. Mais ces taux sont alarmants. Il faut savoir que dans des zones à 1.000 ppm, il ne faut que quelques secondes d'exposition pour y rester. Et que l'œdème du poumon peut se déclencher à partir de 200ppm», conclut Yves-Marie Le Lay. Sources : L’Express.fr, France-Info.com, Le Monde.fr, Le Télégramme.com
rquoi les algues vertes sont dangereuses pour l’homme ?
80.000 tonnes d’algues vertes s’échouent chaque année sur une cinquantaine de plages bretonnes. Si au départ elles sont inoffensives, elles deviennent très vite dangereuses en séchant, lorsqu’elles dégagent du sulfure d’hydrogène. Ce gaz nocif, lorsqu'il est inhalé, provoque des intoxications aigües potentiellement mortelles.
Quels sont les antécédents ?
L'inquiétude à propos des algues vertes est née après la mort, suite à l’inhalation de gazs toxiques, de deux chiens en juillet 2008 sur la plage de la Granville. Très vite, le docteur Claude Lesné, spécialiste des polluants aériens et de leurs effets sur la santé, s'était intéressé de près à ces « laitues de mer ». Dans un entretien au Télégramme de Brest (4 octobre 2008), il s’inquiétait déjà des risques encourus par l’homme : « Si cela arrive à deux gros chiens (13 kg et 25 kg), ça peut également arriver à des humains et, notamment, à des enfants. Surtout que les animaux réagissent habituellement plus tard et à des doses plus élevées ». D'autres incidents, imputés aux algues vertes, n'ont pas manqué depuis de raviver la polémique. Ainsi, toujours en 2008, un ramasseur d’algues vertes sur une plage de Bretagne est tombé dans un grave coma. En 2009, un homme de 48 ans est décédé suite à une intoxication par le sulfure d'hydrogène, inhalé lors du ramassage des algues. Plus tard la même année, un cheval a succombé à une intoxication aigüe foudroyante sur la plage de Saint-Michel-en-Grève. Son cavalier n'a heureusement pas subi le même sort. Ce vétérinaire de formation, aujourd’hui chercheur en virologie, a pu être secouru après avoir perdu connaissance.
36 sangliers retrouvés morts en juillet 2011
Les 36 cadavres de sangliers, découverts sur une plage bretonne, relancent donc la polémique sur les algues vertes. Bien qu'elles ne soient pas officiellement mises en cause dans le décès de ces animaux, une récente autopsie réalisée sur 6 marcassins accrédite un peu plus la piste de morts dues à ces "laitues de mer". La préfecture des Côtes-d'Armor a annoncé le lundi 1er août que la présence d'hydrogène sulfuré, un gaz toxique issu de la putréfaction des algues vertes, "est avérée" dans les poumons de cinq des six sangliers découverts morts le 24 juillet dans l'estuaire du Gouessant. Des résultats toutefois nuancés lors d'une conférence de presse par Philippe de Gestas, secrétaire général de la préfecture : "Il serait excessif de conclure de manière radicale que c'est l'hydrogène (H2S) qui a provoqué leur mort puisque l'un de ces animaux n'en présentait pas. Le H2S a pu contribuer à leur mort dans des proportions que je ne suis pas en mesure de vous dire aujourd'hui".
L’ Agence nationale de la sécurité sanitaire (Anses) a de son côté rendu un rapport début juillet confirmant le risque majeur « dans certains cas » de la putréfaction des algues vertes sur les littoraux, en raison du dégagement, entre autres, du sulfure d’hydrogène, un gaz qui peut être mortel.
Des taux inquiétants d'hydrogène sulfuré
Les militants écologistes André Ollivro et Yves-Marie Le Lay ont pratiqué, le mercredi 27 juillet, des analyses sur la plage de Saint-Maurice, à Morieux. Ceci devait leur permettre de prouver que la mort des sangliers est directement liée à la pollution à l’algue verte. Ainsi, le taux d'hydrogène sulfuré (H2S) mesuré a dépassé les 500ppm (particules par million) à deux reprises, pendant quatre, puis dix secondes. Un seuil auquel la mort arrive en quelques minutes chez l'homme.
Quant à l'estuaire du Gouessant, où ont été retrouvés les animaux, c'est un taux de 380 ppm qui a été mesuré. «Les résultats que nous avons obtenus ne sont pas surprenants. Mais ces taux sont alarmants. Il faut savoir que dans des zones à 1.000 ppm, il ne faut que quelques secondes d'exposition pour y rester. Et que l'œdème du poumon peut se déclencher à partir de 200ppm», conclut Yves-Marie Le Lay. Sources : L’Express.fr, France-Info.com, Le Monde.fr, Le Télégramme.com